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Santé & Bien-être

Libérée du cancer !

6 juillet 2017

Ce témoignage de Freezia Herrera est rapporté par l’Institut Hippocrate dans son magazine (Volume 37 – Issue 2). Cette femme y raconte son expérience de guérison d’un cancer du sein, malgré un mode de vie qu’elle considérait comme très sain.

Voici donc la traduction de ce récit :

Avant d’être diagnostiquée d’un cancer du sein le 21 janvier 2009, je me considérais comme très saine. Je me sentais d’ailleurs tellement saine, que lorsque je me suis rendue à un rendez-vous de mammographie et que l’infirmière me demanda de revenir pour d’autres tests, j’ai dit « OK ! » ; je ne pensais absolument pas qu’il pouvait y avoir un quelconque problème.

Quand j’y retournais, ils m’ont immédiatement envoyée au Centre spécialisé du Sein, me disant que je devais voir un spécialiste. Le médecin me dit qu’il voyait quelque chose d’anormal sur mon sein gauche. Il pouvait voir une tumeur, mais il avait besoin d’une biopsie pour savoir si elle était maligne.

Malheureusement, il s’est avéré qu’elle était maligne. Le médecin me dit que j’avais le cancer et qu’il pouvait s’étendre à l’autre sein. Je devais me faire retirer les deux seins et la plupart des nodules sous mon bras gauche. Après la chirurgie j’aurais besoin de radiothérapie et de chimiothérapie et devrais prendre du Tamoxifen pendant cinq ans. Je ne pouvais pas croire à ce que ce médecin me disait.

J’étais livrée à moi-même alors que je recevais ces nouvelles alarmantes puisque mon mari était absent. J’étais stupéfiée, en déni total et j’ai déclaré à mon médecin que cela n’était pas possible ; que j’étais très saine, que je n’avais aucun cancer dans mon histoire familiale. Il persista à dire que j’avais besoin d’une chirurgie aussi vite que possible parce que j’avais un risque plus élevé en raison de la ménopause. Il suggéra de programmer la chirurgie pour la semaine suivante. J’ai répondu que je ne souhaitais pas subir cette chirurgie. A la suite de quoi il déclara que j’en avais besoin immédiatement parce que sinon je pourrais mourir dans les trois mois. Quand j’ai quitté son cabinet, j’étais en état de choc ! Je ne pouvais pas croire à ce qu’il m’avait dit. Je me suis demandée « Si je me sens tellement saine, pourquoi ai-je le cancer ? ».

J’ai annoncé ce cancer à ma famille et ma sœur a suggéré que je commence par détoxifier mon corps et que je fasse ensuite la chirurgie. Je suis allée dans un hôpital ayurvédique en Inde pour un séjour d’un mois, accompagnée par mon père qui pouvait être avec moi durant ce moment difficile. Je revins d’Inde et subi la chirurgie. On m’a seulement retiré la tumeur et trois nodules. Deux nodules étaient cancéreux, mais j’ai refusé la chimiothérapie, la radiothérapie et le tamoxifen. Le médecin me dit que, puisque j’avais refusé les traitements, il ne pouvait plus me suivre. J’ai décidé que je devais trouver un autre médecin pratiquant une médecine naturelle.

J’ai rencontré une femme qui m’a recommandé d’aller à l’Institut de santé Hippocrate. J’ai suivi le programme de trois semaines et je me souviens du Dr Anna Maria Clement me disant que je ne devais consommer aucun sucre pendant au moins un an. Je lui demandais : « Comment est-ce possible ? Que vais-je manger ? ». Le Dr Anna me dit de simplement continuer à manger ce que j’avais mangé à Hippocrate.

Je rentrais à la maison et pendant les trois premiers mois ce fut dur pour moi. Je pleurais chaque matin en me demandant : « Que vais-je manger ? ». Il est sûr que je regrettais ma nourriture colombienne. Mais je remarquais aussi que la plupart de la nourriture que j’avais consommée jusque là contenait des quantités de sucre !

Je fus capable de trouver la façon de manger cru pendant toute une année. Ensuite, j’ai été capable de manger 80% de cru et 20% de cuit durant les trois années suivantes et, étonnamment, toujours aucun sucre !

Actuellement, je mange environ 65% de cru et 35% de cuit et toujours aucun sucre. La manière dont je mange aujourd’hui n’est absolument pas un régime pour moi, mais un mode de vie pour rester en bonne santé le reste de ma vie !

Mon dernier IRM a été fait en juin 2016 et le médecin m’a dit que j’étais en parfaite santé, que je devais continuer à faire ce que je faisais !

Je veux remercier mon mari, toute ma famille et mes amis, les médecins homéopathes, les conseillers et maîtres spirituels et tout particulièrement l’institut Hippocrate qui m’a accompagnée tout au long de cette expérience. Je suis maintenant libérée du cancer !

Finalement, je veux  partager la raison pour laquelle je crois avoir eu un cancer. Tout a commencé durant une époque émotionnellement très traumatique que j’ai vécu avec ma fille, et cela a pris 12 ans pour développer une tumeur. Durant mon séjour à Hippocrate j’ai fait un test sanguin dont le Dr Anna Maria m’a montré les résultats sur un écran et expliqué quand les changements dans mon corps semblaient avoir commencé.

En parallèle à mes croyances familiales, le fait d’identifier le moment probable du démarrage de ce cancer me donna la force et la volonté de cheminer sur ce chemin de guérison de façon naturelle. J’ai grandi auprès d’une grand-mère qui mêlait les traditions indiennes des Chibchas et des Arhuacos de Colombie. Quand j’étais malade, enfant, ma grand-mère me donnait des plantes ; tout était naturel, jamais aucune médecine conventionnelle. Maintenant, en tant qu’adulte, cet instinct continue à me guider pour prendre soin de moi de façon naturelle.

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